Le client d’abord

Les commerces du village dépendent les uns des autres. Si on n’est pas satisfait de l’épicerie on peut choisir d’aller magasiner à Bromont, à Sutton ou à Cowansville. L’épicerie ici est citée en exemple et non montrée du doigt.

Quand il se déplace dans la région, l’acheteur de Knowlton sera tenté d’acheter dans les villes des alentours des articles qu’il aurait pu trouver ici. Quand un commerce est négligé, les autres en souffrent.

Il suffit de peu, comme de ne pas accepter les cartes de crédit à la pompe. C’est peut-être justifiable, mais bien des gens pourraient s’objecter à entrer pour payer et devoir faire la queue derrière des gens hésitant à choisir leurs billets de loterie. La prochaine station service n’est heureusement pas très loin.

Puis, il y a les heures d’ouverture. Des magasins sont ouverts quand d’autres sont fermés. Cela aussi mène les clients vers les villes voisines. Par une froide soirée d’hiver, le site web d’un restaurant local affichait ouvert. Les clients le trouvèrent fermé, et l’affiche lumineuse OUVERT allumée

Il incombe peut-être à la Chambre de commerce de demander aux commerçants locaux et aux restaurateurs de coordonner leurs heures d’ouverture et de se concentrer sur le service à la clientèle.

Les commerces d’ici qui réusissent sont ceux qui offrent un service aux gens qui vivent ici. La Chambre de commerce prêche pour l’achat local. Très bien, mais les commerces locaux doivent s’assurer que leurs clients locaux sont heureux et désireux de magasiner à proximité de chez eux.