Croyez-le…ou non!

• Un couple marchait paisiblement sur la rue Victoria à Knowlton lorsqu’un automobiliste s’arrêta pour obtenir de l’information concernant le sentier pédestre. Le touriste avait noté qu’il était fermé et désirait en connaître la raison. La dame lui donna quelques renseignements puis indiqua que son mari pourrait le renseigner encore plus. «Oh, fit le touriste, seriez-vous le maire?» «Non», répondit l’homme, mais comme une autre voiture s’approcha, il annonça «C’est lui le maire». En effet, par coïncidence, Richard Burcombe apparut juste à temps pour donner à la dame toute l’information dont elle avait besoin concernant les travaux de recouvrement du sentier pédestre et cyclable. 

• Un mari, sa femme, ainsi qu’un chat et un chien entreprirent le trajet de Knowlton à Victoria, C.-B. à bord d’une maison mobile. Alors qu’ils étaient attablés dans un restaurant de Whistler, un homme qui passa tout près possédait une démarche qui semblait familière et qui attira l’attention de la dame. Puis, à la vue de la femme qui le suivait de près, elle était certaine que ce couple résidait sur une rue voisine de leur propriété à Knowlton. Elle courut après eux accompagnée de son chien, Abby, qui alla se frotter contre les jambes de l’homme. Bien sûr, cet homme qui aimait les chiens avait dans sa poche des biscuits qu’Abby avait l’habitude de recevoir. Le monde est réellement petit. 

• Une femme, en chemin pour faire des courses, ouvrit la porte du garage par l’intérieur se servant de la télécommande. Elle enfila ses bottes et son manteau, puis sorti pour se rendre à la voiture. À sa grande surprise, les portes du garage étaient toujours fermées avec l’auto bien rangée à l’intérieur. Frustrée elle rentra dans la maison et jeta un regard perplexe vers la malheureuse télécommande et s’aperçut qu’elle s’était servi de celle utilisée pour la petite et vieillotte télévision plutôt que de celle pour le garage – surprise! elle n’avait rien fait d’autre que d’allumer la télévision. Les télécom- mandes ne sont désormais plus ensemble sur l’étagère. 

Traduction: Michel Morin